Skip to main content

Canadian athletes benefiting from stronger Anti-Doping Program

CCES Logo

Press Release

This article is written in English with a French translation underneath.

May 12, 2016 – As Team Canada prepares for the upcoming Olympic and Paralympic Summer Games in Rio, athletes are benefiting like never before from expanded education and testing services offered through the Canadian Anti-Doping Program (CADP).

Introduced on January 1, 2015, the revised CADP meets the more stringent requirements of the 2015 World Anti-Doping Code. The Canadian Centre for Ethics in Sport (CCES) is responsible for implementing the Code in Canada on behalf of the Canadian sport community.  

Our anti-doping program is more sophisticated and more comprehensive than it’s ever been,” said Paul Melia, President and CEO of the CCES. “With the completion of the first phase of implementation of the CADP, I’m pleased to report that we conducted a record number of doping control tests, and efforts to educate Canadian athletes and their support personnel have never been more extensive. Our mandatory online course, for example, was completed by more than 33,000 national team, university and college athletes between January 1, 2015 and March 31, 2016.

Melia reinforced that the ultimate goal of the program is to ensure a level playing field for the vast majority of athletes who compete clean, adding that there has never been a greater need for an effective anti-doping program in Canada. International doping concerns, such as the discovery of systemic doping in Russia, along with other ethical issues, such as the FIFA scandal and various sexual harassment allegations, have tarnished the image of sport both at home and abroad.

A recent CCES survey of 2,000 respondents reconfirmed there are strong Canadian attitudes on doping: eight in 10 agree (strongly or somewhat) that Canada should pursue rigorous anti-doping efforts, even if some countries or sport organizations are not as committed. A similar number agree that catching athletes who cheat must be a number one priority for Canada.

When respondents were asked about their biggest concerns around the upcoming Games in Rio, near the top of the list was a Canadian athlete winning a medal and having it stripped for a doping infraction. This scenario was second only to a Canadian athlete, coach or tourist victimized by violence or a terrorist act.

Every single federally-funded national sport organization has signed an agreement to support the CADP, and this can only benefit our high-performance athletes,” said Melia. “And generous funding from Sport Canada has put the program on a solid footing to start the new quadrennial after the Rio Games.

Melia cautioned against becoming complacent, however, pointing out that doping remains a reality in Canada. Just last year, nine Canadian athletes were forced to withdraw from Team Canada qualifications in the face of anti-doping violations asserted by the CCES prior to the Toronto 2015 Pan Am and Parapan Am Games. Eight of the athletes are now serving four-year bans from competition; the other is serving a two-year suspension. Over the first 15 months of the revised CADP, there have been 21 confirmed violations against Canadian athletes and, at this point in time, seven cases are still pending.

The first phase of CADP implementation has gone very well,” concluded Melia. “In my view, it’s a testament to a highly collaborative approach and to a solid, system-wide commitment to clean sport in Canada.

The CCES is an independent, national, not-for-profit organization with a responsibility to administer the CADP. We recognize that true sport can make a great difference for individuals, communities and our country. The CCES acknowledges funding, in part, from the Government of Canada. We are committed to working collaboratively to activate a values-based and principle-driven sport system; protecting the integrity of sport from the negative forces of doping and other unethical threats; and advocating for sport that is fair, safe and open to everyone.


Les athlètes canadiens bénéficient d’un programme antidopage plus solide

L’éducation et les contrôles du dopage demeurent au cœur des priorités de l’organisme responsable de la lutte contre le dopage au Canada

12 Mai 2016 – Tandis qu’Équipe Canada se prépare pour les prochains Jeux olympiques et paralympiques qui auront lieu à Rio, au Brésil, les athlètes profitent de formations et de contrôles du dopage plus complets que jamais grâce au Programme canadien antidopage (PCA).

Lancé le 1er janvier 2015, le PCA révisé satisfait les exigences plus strictes du Code mondial antidopage de 2015 (Code). Le Centre canadien pour l’éthique dans le sport (CCES) est responsable de l’adoption du Code au Canada au nom de la communauté sportive canadienne.  

« Notre programme antidopage est plus perfectionné et complet que jamais, explique Paul Melia, président-directeur général du CCES. Maintenant que la première étape de la mise en œuvre du PCA est terminée, je suis heureux de vous informer que nous avons effectué un nombre record de contrôles du dopage et que nos actions visant à éduquer les athlètes canadiens et leur personnel de soutien n’ont jamais été aussi soutenues. Notre cours en ligne obligatoire, par exemple, a été suivi par plus de 33 000 athlètes d’équipes nationales, du collégial et universitaires du 1er janvier 2015 au 31 mars 2016.

Le programme a pour but ultime d’assurer des règles de jeu équitables pour la grande majorité des athlètes qui participent à des compétitions sans se doper. Le besoin d’un programme antidopage efficace au Canada n’a jamais été aussi grand. Des préoccupations au niveau international quant au problème de dopage systémique en Russie en plus d’autres problèmes éthiques tel que le scandale de la Fédération internationale de Football Association (FIFA) et des  diverses allégations de harcèlement sexuel, ont terni l’image du sport à l’échelle nationale et internationale », renforce Paul Melia.

Dernièrement, un sondage du CCES réalisé auprès de 2 000 personnes a reconfirmé que les Canadiens désirent éliminer le dopage : huit répondants sur dix sont (fortement ou quelque peu) d’accord que le Canada devrait lutter vigoureusement contre le dopage, même si certains pays ou organismes de sport ne le font pas. Un nombre similaire de répondants étaient d’accord qu’il fallait prioriser au Canada les efforts visant à identifier les athlètes qui se dopent.

À la question portant sur leur plus grande préoccupation concernant les Jeux de Rio à venir, les répondants ont été très nombreux à indiquer le fait qu’un athlète perde une médaille pour avoir violé une règle antidopage. Ce scénario arrivait en deuxième position après celui d’un athlète, un entraîneur ou un touriste canadien qui serait victime de violence ou d’un acte terroriste.

« Chaque organisme de sport national financé par l’État a signé une entente afin d’appuyer le PCA, ce qui ne peut être que bénéfique pour nos athlètes de haut niveau, » affirme Paul Melia. « Le financement généreux de Sport Canada a permis de solidifier le programme afin de commencer le nouveau quadriennal du bon pied une fois les Jeux de Rio terminés. »

Toutefois, la lutte contre le dopage n’est pas encore gagnée au Canada, et il faut se garder d’être complaisant, met en garde Paul Melia. L’an dernier, neuf athlètes canadiens n’ont pu participer aux qualifications pour Équipe Canada puisque le CCES avait établi qu’ils étaient en violation de règles antidopage avant les Jeux panaméricains et parapanaméricains de 2015 à Toronto. Huit de ces athlètes ont été suspendus pendant quatre ans et un athlète, pendant deux ans. Dans les 15 premiers mois du PCA révisé, le CCES a confirmé 21 violations des règles antidopage et, à ce jour, sept autres cas sont toujours en cours.

« La première étape de la mise en œuvre du PCA s’est très bien déroulée, conclut Paul Melia. Selon moi, cela témoigne d’une approche hautement collaborative et un engagement ferme de l’ensemble du système par rapport à un sport sain et sans dopage au Canada. »  

Le CCES est l’organisme national indépendant et à but non lucratif responsable de l’administration du Programme canadien antidopage. Nous reconnaissons que le sport sain peut faire une grande différence pour les individus, les collectivités et notre pays. Le CCES reconnaît la contribution financière du gouvernement du Canada. Nous avons pris l’engagement de travailler de façon collaborative pour engendrer un système sportif basé sur des valeurs et animé par des principes; de protéger l’intégrité du sport des forces négatives du dopage et d’autres menaces non éthiques; de défendre le sport juste, sécuritaire et ouvert à tous.