Powerlifting athlete suspended for presence of four banned substances
English
Press Release
28 June 2017
The Canadian Centre for Ethics in Sport (CCES) announced today that, Meana Franco, a powerlifting athlete, received a four-year sanction for an anti-doping rule violation. The athlete’s urine sample, collected during in-competition doping control on March 13, 2017, revealed the presence of Oxandrolone, SARM LGD-4033, SARM S-22, and GW501516.
In response to the CCES’ notification of the adverse analytical finding, Ms. Franco admitted the violation in a timely fashion (in accordance with CADP Rule 10.11.2), waived her right to a hearing and accepted a sanction of four years ineligibility from sport, terminating on March 13, 2021. The athlete, who resides in Ottawa, Ontario, is ineligible to participate in any capacity with any sport signatory to the CADP, including training with teammates.
In compliance with rule 7.10 of the CADP, a copy of the CCES’ file outcome summary can be found at www.cces.ca/sanctionreg.
The Canadian Centre for Ethics in Sport is an independent, national, not-for profit organization. We recognize that true sport can make a great difference for individuals, communities and our country. We are committed to working collaboratively to activate a values-based and principle-driven sport system; protecting the integrity of sport from the negative forces of doping and other unethical threats; and advocating for sport that is fair, safe and open to everyone.
French
Une athlète de dynamophilie suspendu pour la présence de quatre substances interdites
le 28 juin 2017 – Le Centre canadien pour l’éthique dans le sport (CCES) vient d’annoncer que Meana Franco, une athlète de dynamophilie, s’est vu imposer une suspension de quatre ans pour une violation des règles antidopage. Cette violation a été découverte par l’analyse d’un échantillon d’urine recueillis durant un contrôle antidopage en compétition réalisé le 13 mars 2017 qui a révélé la présence d'oxandrolone, SARM LGD-4033, SARM S-22 et GW501516.
En réponse à l’avis du CCES concernant ce résultat d’analyse anormal, Mme Franco a promptement avoué la violation (conformément à la règle 10.11.2 du PCA), a renoncé à son droit à une audience et a accepté une suspension de quatre ans qui prendra fin le 13 mars 2021. Durant cette période, il est interdit à cette athlète, qui réside à Ottawa, en Ontario, de participer, peu importe à quel titre, à tout sport organisé signataire du Programme canadien antidopage (PCA), y compris de s’entraîner avec ses coéquipiers.
Conformément à la règle 7.10 du PCA, une copie de la lettre dans laquelle le CCES énonce les motifs de sa décision est affichée à l’adresse suivante : https://cces.ca/fr/registre-canadien-des-sanctions-antidopage.
Le Centre canadien pour l’éthique dans le sport est l’organisme national indépendant et à but non lucratif responsable de l’administration du PCA. En vertu des règles du PCA, le CCES est tenu de rendre publique toute violation aux règles antidopage. Nous reconnaissons que le sport sain peut faire une grande différence pour les individus, les collectivités et notre pays. Nous avons pris l’engagement de travailler en collaboration à activer un système sportif basé sur des valeurs et animé par des principes; à protéger l’intégrité du sport des forces négatives du dopage et d’autres menaces non éthiques; et à défendre le sport juste, sécuritaire et ouvert à tous..