Powerlifting Athlete Suspended for Presence of Stimulants
English
Press Release
8 November 2017
The Canadian Centre for Ethics in Sport (CCES) announced today that Niko Somos, a powerlifting athlete, received a two-year sanction for an anti-doping rule violation. The athlete’s urine sample, collected during in-competition doping control on July 9, 2017, revealed the presence of oxilofrine and 1,3-dimethylbutylamine, prohibited stimulants.
Oxilofrine and 1,3-dimethylbutylamine are classified as “specified substances” on the World Anti-Doping Agency (WADA) Prohibited List, banned in-competition. Under the rules of the Canadian Anti-Doping Program (CADP), the period of ineligibility for a first violation for the presence of a “specified substance” is two years, unless an athlete can meet the conditions for eliminating or reducing the period of ineligibility.
In response to the CCES’ notification of the adverse analytical finding, Mr. Somos admitted the violation in a timely fashion (in accordance with CADP Rule 10.11.2), waived his right to a hearing and accepted a sanction of two years ineligibility from sport, terminating on July 8, 2019. The athlete, who resides in Edmonton, Alberta, is ineligible to participate in any capacity with any sport signatory to the CADP, including training with teammates.
In compliance with rule 7.10 of the CADP, a copy of the CCES’ file outcome summary can be found at www.cces.ca/sanctionreg.
The CCES is an independent, national, not-for profit organization with a responsibility to administer the CADP. Under the CADP rules, the CCES announces publicly every anti-doping rule violation. We recognize that true sport can make a great difference for individuals, communities and our country. We are committed to working collaboratively to activate a values-based and principle-driven sport system; protecting the integrity of sport from the negative forces of doping and other unethical threats; and advocating for sport that is fair, safe and open to everyone.
French
Un athlète de dynamophilie suspendu pour la présence de stimulants
8 Novembre 2017
Le Centre canadien pour l’éthique dans le sport (CCES) vient d’annoncer que Niko Somos, un athlète de dynamophilie, s’est vu imposer une suspension de deux ans pour une violation des règles antidopage. Cette violation a été découverte par l’analyse d’un échantillon d’urine recueillis durant un contrôle antidopage en compétition réalisé le 9 juillet 2017 qui a révélé la présence d'oxilofrine et de 1,3-diméthylbutylamine, des stimulants interdits.
L'oxilofrine et la 1,3-diméthylbutylamine sont classés au titre des « stimulants spécifiés » interdits en compétition sur la Liste des interdictions de l’Agence mondiale antidopage (AMA). En vertu des règlements du Programme canadien antidopage (PCA), la période de suspension dans le cas d’une première violation pour usage d’une substance spécifique est de deux ans, à moins que l’athlète en cause puisse remplir les conditions le rendant admissible à l’élimination ou à la réduction de la période de suspension.
En réponse à l’avis du CCES concernant ce résultat d’analyse anormal, M. Somos a promptement avoué la violation (conformément à la règle 10.11.2 du PCA), a renoncé à son droit à une audience et a accepté une suspension de deux ans qui prendra fin le 8 juillet 2019. Durant cette période, il est interdit à cet athlète, qui réside à Edmonton, en Alberta, de participer, peu importe à quel titre, à tout sport organisé signataire du PCA, y compris de s’entraîner avec ses coéquipiers.
Conformément à la règle 7.10 du PCA, une copie de la lettre dans laquelle le CCES énonce les motifs de sa décision est affichée à l’adresse suivante : www.cces.ca/fr/registre-canadien-des-sanctions-antidopage.
Le Centre canadien pour l’éthique dans le sport est l’organisme national indépendant et à but non lucratif responsable de l’administration du PCA. En vertu des règles du PCA, le CCES est tenu de rendre publique toute violation aux règles antidopage. Nous reconnaissons que le sport sain peut faire une grande différence pour les individus, les collectivités et notre pays. Nous avons pris l’engagement de travailler en collaboration à activer un système sportif basé sur des valeurs et animé par des principes; à protéger l’intégrité du sport des forces négatives du dopage et d’autres menaces non éthiques; et à défendre le sport juste, sécuritaire et ouvert à tous.