U SPORTS hockey athlete suspended for presence of cannabis
English
Press Release
25 April 2017
The Canadian Centre for Ethics in Sport (CCES) announced today that Vincent Figliomeni, a U SPORTS hockey player from Ryerson University, received a two-month sanction for an anti-doping rule violation. The athlete’s urine sample, collected during in-competition doping control on February 2, 2017, revealed the presence of cannabis.
The presence of cannabis, classified as a “specified substance” on the 2017 Prohibited List, is considered an adverse analytical finding when the urinary concentration exceeds 150 ng/mL. Under the rules of the Canadian Anti-Doping Program (CADP), an athlete facing a first violation involving a “specified substance” can seek to have the sanction reduced to a reprimand. Based on CCES’ assessment of the athlete's degree of fault, the CCES proposed a two-month period of ineligibility.
In response to the CCES’ notification of the adverse analytical finding, Mr. Figliomeni admitted the violation in a timely fashion (in accordance with CADP Rule 10.11.2), waived his right to a hearing and accepted a sanction of two months ineligibility from sport (which terminated on April 10, 2017). The athlete, who resides in Toronto, Ontario, was ineligible to participate in any capacity with any sport signatory to the CADP, including training with teammates, during the sanction period.
In compliance with rule 7.10 of the CADP, a copy of the CCES’ file summary can be found at www.cces.ca/canadian-sport-sanction-registry.
The CCES is an independent, national, not-for profit organization with a responsibility to administer the CADP. Under the CADP rules, the CCES announces publicly every anti-doping rule violation. We recognize that true sport can make a great difference for individuals, communities and our country. We are committed to working collaboratively to activate a values-based and principle-driven sport system; protecting the integrity of sport from the negative forces of doping and other unethical threats; and advocating for sport that is fair, safe and open to everyone.
French
Un athlète de hockey de U SPORTS suspendue pour la présence de cannabis
le 25 avril 2017 – Le Centre canadien pour l’éthique dans le sport (CCES) vient d’annoncer que Vincent Figliomeni, un athlète de hockey de U SPORTS de l’Université Ryerson, s’est vu imposer une suspension de deux mois pour une violation des règles antidopage. Cette violation a été découverte par l’analyse d’un échantillon d’urine recueilli durant un contrôle de dopage en compétition réalisé le 2 février 2017, qui a révélé la présence de cannabis.
La présence dans l’urine de cannabis, qui fait partie des « substances spécifiées » sur la Liste des interdictions 2017, à une concentration supérieure à 150 ng/ml est considérée un résultat d’analyse anormal. En vertu des règles du Programme canadien antidopage (PCA), une athlète qui commet une première violation dans le cas d’une « substance spécifiée » peut demander que sa sanction soit réduite. À partir de l’évaluation faite par le CCES du degré de la faute de l’athlète, le CCES a recommandé une suspension de deux mois.
En réponse à l’avis du CCES concernant ce résultat d’analyse anormal, M. Figliomeni a promptement avoué la violation (conformément à la règle 10.11.2 du PCA), a renoncé à son droit à une audience et a accepté de se retirer du sport pendant deux mois (sanction qui a pris fin le 10 avril 2017). Durant cette période, il était interdit à cet athlète, qui réside à Toronto, en Ontario, de participer, peu importe à quel titre, à tout sport organisé signataire du PCA, y compris de s’entraîner avec ses coéquipiers.
Conformément à la règle 7.10 du PCA, le résumé du dossier du CCES est affiché à l’adresse : www.cces.ca/fr/registre-canadien-des-sanctions-antidopage.
Le Centre canadien pour l’éthique dans le sport est l’organisme national indépendant et à but non lucratif responsable de l’administration du Programme canadien antidopage. En vertu des règles du PCA, le CCES est tenu de rendre publique toute violation aux règles antidopage. Nous reconnaissons que le sport sain peut faire une grande différence pour les individus, les collectivités et notre pays. Nous avons pris l’engagement de travailler en collaboration à activer un système sportif basé sur des valeurs et animé par des principes; à protéger l’intégrité du sport des forces négatives du dopage et d’autres menaces non éthiques; et à défendre le sport juste, sécuritaire et ouvert à tous.