WADA lifts partial suspension of UCLA Laboratory’s accreditation
English
Press release
6 October 2017
WADA LIFTS PARTIAL SUSPENSION OF UCLA LABORATORY’S ACCREDITATION FOR SPECIFIC PROHIBITED SUBSTANCES
Montreal, 6 October 2017 – The World Anti-Doping Agency (WADA) announces that, in accordance with the International Standard for Laboratories (ISL), Sir Craig Reedie, Chairman of WADA’s Executive Committee, has approved lifting the partial suspension of the accreditation of the UCLA Olympic Analytical Laboratory (UCLA Laboratory) in Los Angeles, United States, as it relates to the analysis of four specific prohibited substances.
The UCLA Laboratory, which had its accreditation partially suspended for specific prohibited substances on 14 June 2017, has resolved the issue that led to the partial suspension. As such, on 27 September 2017, the WADA Laboratory Expert Group recommended to the Agency’s Executive Committee Chairman that the partial suspension be lifted. Therefore, effective 27 September 2017, the UCLA Laboratory, which had continued to carry out all of its regular anti-doping activities, is no longer required to obtain a second opinion prior to reporting Adverse Analytical Findings for the four specific prohibited substances.
“WADA is pleased to confirm that the UCLA Laboratory’s accreditation has been reinstated approximately three months after the Laboratory was partially suspended,” said WADA Director General, Olivier Niggli. “We commend the UCLA Laboratory for their quick and effective response in addressing the issue that led to the partial suspension,” Niggli continued. “Athletes can be confident that the Laboratory is operating at the high standards required by WADA and the global anti-doping program.”
Pursuant to the ISL, WADA is responsible for accrediting and re-accrediting anti-doping laboratories; thereby, ensuring that they maintain the highest quality standards. Whenever a laboratory does not meet ISL requirements, WADA may decide to suspend or revoke the laboratory’s accreditation. The high number of laboratory suspensions in 2016 and 2017 have been a direct result of the more stringent quality assessment procedures enacted by WADA to ensure laboratories maintain the highest standards.
French
L’AMA LÈVE LA SUSPENSION PARTIELLE DE L’ACCRÉDITATION DU LABORATOIRE DE L’UCLA POUR CERTAINES SUBSTANCES INTERDITES
6 Octobre 2017
Montréal, le 6 octobre 2017 – L’Agence mondiale antidopage (AMA) annonce que conformément au Standard international pour les laboratoires (SIL) <https://wada-ama.us15.list-manage.com/track/click?u=b1807e279506be6f85bf0da1c&id=e53eb324fc&e=3f93c1ec5e>, Sir Craig Reedie, président du Comité exécutif de l’AMA, a approuvé la levée de la suspension partielle du laboratoire analytique olympique de l’UCLA (le « laboratoire de l’UCLA »), à Los Angeles, États-Unis, en ce qui concerne l’analyse de quatre substances interdites.
Le laboratoire de l’UCLA, qui avait vu son accréditation partiellement suspendue pour certaines substances interdites le 14 juin 2017 <https://wada-ama.us15.list-manage.com/track/click?u=b1807e279506be6f85bf0da1c&id=db37fd97b6&e=3f93c1ec5e>, a réglé le problème à l’origine de cette suspension partielle. Par conséquent, le 27 septembre 2017, le groupe d’experts Laboratoires de l’AMA a recommandé au président du Comité exécutif de l’Agence que la suspension partielle soit levée. À compter du 27 septembre 2017, le laboratoire de l’UCLA, qui a continué de mener ses activités courantes en matière de lutte contre le dopage, n'est donc plus tenu d’obtenir un deuxième avis avant de signaler tout résultat d’analyse anormal pour les quatre substances interdites visées.
« L’AMA est heureuse de confirmer que l’accréditation du laboratoire de l’UCLA a été rétablie environ trois mois après sa suspension partielle, a déclaré Olivier Niggli, directeur général de l’AMA. Nous félicitons le laboratoire de l’UCLA d’avoir agi rapidement et efficacement pour régler le problème ayant mené à cette suspension partielle. Les sportifs peuvent avoir l’assurance que le laboratoire mène ses activités conformément aux normes élevées exigées par l’AMA et le programme antidopage mondial. »
En vertu du SIL, l’AMA est responsable de l’accréditation et de la réaccréditation des laboratoires antidopage, et doit donc s’assurer qu’ils respectent les normes de qualité les plus élevées qui soient. Lorsqu’un laboratoire ne remplit pas les exigences du SIL, l’AMA peut décider de suspendre ou de révoquer son accréditation. Le grand nombre de suspensions en 2016 et 2017 découle directement des procédures d’évaluation de la qualité plus strictes mises en application par l’AMA pour veiller à ce que les laboratoires maintiennent les normes les plus rigoureuses.